The vagaries of time
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 Là où la douleur finie, la folie règne. Ft Harry.

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Sirius O. Black
Sirius O. Black
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MessageSujet: Là où la douleur finie, la folie règne. Ft Harry.  Là où la douleur finie, la folie règne. Ft Harry.  EmptyJeu 4 Jan - 21:37
Depuis combien de temps, Sirius était-il arrivé ici ? Il ne savait pas, il n'avait aucune notion du temps. Il parlait souvent seul, enfin avec les voix dans sa tête, les hallucinations. Donc avec ce qu'il pensait être Regulus et James. C'était stupide, mais son esprit était brisé et il lui fallait de l'aide et il le savait. Mais il avait peur que s'il en parlait à des guérisseurs, ont l'enfermé de nouveau. Quatre ans enfermaient dans le même triste endroit, à grelotter de froid et à mourir de faim. Non merci. Il n'arrivait même pas à rester enfermé dans cette maison...

Dès qu'il se levait le matin, Sirius quitté l'endroit où il vivait, ne supportant plus les murs qui étaient censés le protéger de l'extérieur. Ça le rendait dingue, il tournait en rond comme un lion en cage. Alors, il s'était mis en quête de trouvé Remus ou même Harry ! Un lien qui pourrait l'aider à se raccrocher à la réalité, a vidé son esprit de la folie qui était en train de le consumer comme les flemmes d'un brasier.

« C'est ça que tu voulais en fuyant de la maison ? Devenir fou, à cause de ceux qui étaient censés être tes amis. » Souffla la voix de Regulus.

Mais il n'était pas dupe, il savait que son petit frère n'était pas réellement là. Il était mort. Regulus était mort et il n'avait pas pu le sauver... Comme il n'avait pas pu sauver James et Lily.

« Ça va aller. Respire Padfoot. Tout ira bien.»

Sirius, qui avançait rapidement dans les rues de Fullen, s'arrêta, il se passa les deux mains dans les cheveux, se tenant la tête entre avant de pousser un petit cri de frustration.

- TAISEZ-VOUS ! Hurla-t-il aux hallucinations, comme si cela suffirait à l'aider.

Il tremblait, ne prêtant même pas attention aux sorciers qu'il avait fait sursauter à cause de son cri. Il reprit sa marche, enfournant ses mains dans ses poches. Il savait qu'il devait se reprendre avant qu'il ne soit trop tard.

- Harry... Je dois trouver Harry !
« Il te trouvera. Harry te trouvera Sirius.»
- C'est un bébé. Comment il est censé me trouver James ?

Sirius redressa la tête, c'était comme si l'univers tout entier lui faisait un signe. Il le vit. Ce garçon... Il ressemblait en tout point à James. Il avait ses traits, sa beauté, ses cheveux... Il resta planté là, avant de retirer ses mains de ses mains, marchant rapidement vers le garçon. Lorsqu'il fut devant lui, il posa ses mains sur ses épaules et rire hystérique.

- Harry ! Tu es Harry ! Regarde Prongs ! J'ai trouvé Harry ! Mais c'est plus un bébé ! Tu n'es plus un bébé. Oh, tu es grand Harry ! C'est moi. C'est Sirius ! Tu te souviens de moi, Harry ? Bien sûr que non, les bébés n'ont pas de bonnes mémoires.

Le parrain d'Harry semblait s'adressait à quelqu'un à ses côtés, cependant, il n'y avait personnes... Juste le vide.
HS:
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Harry Potter
Harry Potter
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MessageSujet: Re: Là où la douleur finie, la folie règne. Ft Harry.  Là où la douleur finie, la folie règne. Ft Harry.  EmptyVen 5 Jan - 14:43

C'était les premières vacances que Harry passait en dehors de la maison des Dursley. Comme il était mineur, il avait dû rejoindre une maison où habitaient plusieurs autres enfants, tous gérés par des adultes compétents. Ils étaient loin des Dursley et Harry avait une chambre vraiment à lui (chez son oncle et sa tante, c'était également le cas depuis que les lettres avaient tellement effrayé Vernon qu'ils lui avaient attribué la chambre de Dudley, mais au moins, il n'y avait pas de restes de barreaux sur ses fenêtres et il mangeait à sa faim.

Harry n'était en effet plus cantonné à l'étage de la maison dès qu'il y avait des invités et s'épanouissait de jour en jour, bien loin de l'affreux souvenir de la tante Marge et de son chien Molosse qui aurait pu paraître tiré, à qui ne connaissait pas Marge et Vernon, tiré d'un roman de Roald Dahl.

La vie était belle.

La vie était tranquille et Harry travaillait très tranquillement dans sa chambre un devoir d'histoires de la magie qui changeait des habituelles guerres gobelines qui étaient régulièrement au programme du professeur Binns (à croire que ce dernier, en plus d'être un fantôme, avait des problèmes de mémoire). Le devoir traitait des traités qui unissaient les sorciers et de la coopération internationale entre eux, surtout lors de l'avènement d'une menace mondiale, ce qui était un sujet qui intéressait particulièrement le Survivant.

Il était plongé dans un livre, prenant des notes ci et là lorsqu'il entendit une voix lui semblant être familière.

Harry se dit qu'il s'agissait sans doute d'un rêve : après tout, pas plus tard qu'hier, il avait piqué du nez sur un devoir et il lui avait semblé entendre des conversations dans sa tête – il s'était dit qu'il en parlerait bien à Sirius ou au professeur Dumbledore avant de se rappeler qu'il n'avait pas rencontré ces deux hommes dans cette réalité.

Pourtant, la voix semblait plutôt persistante et alors qu'il lui semblait entendre plusieurs fois son nom être crié, le garçon qui avait survécu fronça les sourcils et il ne lui en fallut pas plus pour prendre un manteau, enfiler ses chaussures, mettre sa baguette dans la poche arrière et sortir.

Si l'étranger dont il n'avait pas pu distinguer le visage dehors pouvait être dangereux ? Harry n'en avait aucune idée, Hermione l'aurait sûrement sermonner pour se jeter tout droit dans un potentiel danger.

Il prit le temps de saluer les adultes de la maison mais se dépêcha tout de même de sortir. L'homme semblait toujours être seul dans la rue et parlait à des personnes qui n'étaient pas là. Douteux, il entendit de nouveau son prénom, puis le surnom de son père et enfin, réussit à apercevoir les yeux de l'étranger.

« SIRIUS !!! », s'écria-t-il, puis courut dans sa direction pour l'étouffer de son étreinte.

« Tu es revenu, Sirius, j'ai eu tellement peur que tu sois mort !!! »


Harry ne s'était pas encore rendu compte que ce Sirius semblait bien plus jeune que celui qu'il avait laissé à Poudlard, près du lac, tout ce qui comptait, c'était que c'était son parrain, Sirius Black, le fameux évadé d'Azkaban et qu'à présent, tout le monde avait l'air de savoir qu'il était innocent.

« Voldemort a été vaincu ici, tu es libre, plus personne ne te cherche ! On va pouvoir habiter ensemble, c'est super ! Il paraît que mon père est à Poudlard, en plus ! »
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