Le Gryffondor original face au Cerf des Maraudeurs

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Pré-au-lard, le 01/12/2021

La saison s’était chargée d’apporter avec elle des teintes et des couleurs nouvelles aux arbres et au ciel. L'hiver se ferait dès lors de plus en plus mordant des jours à venir, mais notre chef des maraudeurs a décidé de braver le froid et la neige de décembre pour aller faire du shopping, mais aussi trouver de l'inspiration pour des cadeaux à ses trois amours de sa vie ; Regulus, sa petite étoile au firmament qui éclaire ses nuits, Lily sa merveilleuse muse des forêts enchantée et son balai éclair de feu édition 2020 qui a besoin d'un nouvel accélérateur. James a vécu des moments intenses dans sa courte vie d'adolescent aux hormones ébullitions rien que ces derniers mois. Il est arrivé dans ce futur seulement trois mois, mais on dirait que cela fait des années qu'il est apparu dans cette époque. Le jeune homme s'est particulièrement bien adapté à la technologie et à la mentalité des années 2020, il est facile pour lui de suivre les tendances. Il a même changé de coupe de cheveux pour ressembler à un jeune né dans les années 2000 ressortant ses cheveux aux naturellement bouclés qui part dans tous les sens et même sa garde-robe à changer, fini le style des Beatles et bonjour les jean's et les vestes larges, dans le reflet du miroir du dortoir, il se trouve canon. Remus, notre cher Moony, a adopté le Walkman, mais James, lui, ne jure que sur les air pods et l'iphone qui va avec afin d'écouter et de rattraper son retard sur les musiques sorcières et moldues. Entre-temps, il a pu déclarer sa flamme à Regulus mais aussi Lily. Le problème ? Ils sont des personnels de Poudlard, entretenir deux relations alors qu'il est encore élève pour quelques mois risque de poser de gros ennuis. Du coup, James est obligé de réfréner un maximum les ardeurs pour ne pas se faire prendre, surtout qu'il garde encore le secret à ses meilleurs amis dont l'un d'eux est le grand-frère de Regulus.

James ne sait pas arrêter en si bon chemin durant les mois qui précède décembre. Il avait envoyé un hibou à son fils de quarante ans après avoir bien fouillé dans son futur grâce à la magie de l'internet et la réponse ne se fit pas attendre, en effet, il ne pensait pas avoir une réponse toute suite. Son fils, ministre et directeur dans le ministère de la Magie, veut le voir, il veut le rencontrer, et il était tellement heureux qu'il avait un besoin urgent que la terre entière le sache, il s'est penché et crié par la fenêtre de tout soul : " J'AI UN FILS ET TROIS PETITS ENFANTS !" en faisant sursauter ses deux meilleurs amis. Il n'arrive pas à se rendre compte qu'il est père et grand-père en même temps. Il a fait perdre 20 points à Gryffondor pour tapage nocturne, mais par les couilles de Godric ! Qu'est-ce qu'il pouvait être heureux de cette nouvelle ! Le jeune Potter a relu au moins une centaine de fois sa lettre, encore et encore en admirant son écriture, il trouve qu'il écrit les "g" comme Lily, avec une jolie boucle en bas. Pour l'instant, notre rouge et or se dandinait et dansait sur le chemin qui mène à Pré-au-lard, il devait accélérer le pas avant que le coucher du soleil ne pointe à l'horizon et même en 2021, les horaires sont contraignants à respecter. Il n'a toujours retrouvé sa cape d'invisibilité, il devrait peut-être demander à son fils le ministre s'il a toujours sur lui ou si c'est l'aîné de ses enfants qu'il en a hérité. Le jeune homme arriva à Pré-au-lard, l'ambiance magique de Noël se fait déjà sentir rien que par les décorations dans les jolies ruelles pavées. James retrouve son âme d'enfant en se laissant guider par les odeurs, les lumières de Noël, il salue même un faux père-noel qu'il lui rend joyeusement son salut. Et comme un gosse, il va admirer le gigantesque sapin décoré aux guirlandes lumineuses qui ornent la place du village.

Pas le temps de rêvasser, le jeune homme s'aventura dans les ruelles bondées en quête du cadeau idéal. Ses yeux noisette se posèrent sur une vitrine attrayante où reposent des boules de Noël et autres attrapes touristes de ce genre, il a surtout vu ce super calendrier de l'Avent spécial Quidditch qu'il va bien sûr entrer et acheter ce précieux sésame, la vendeuse lui demanda s'il voulait faire un don pour l'association "Solidarité & Amitié des créatures magiques en voie de disparition", il refuse avant d'être prise de culpabilité et fini par donner quelques pièces supplémentaires. La grosse femme sourit de toutes ses dents avant de le remercier et de lui souhaiter un "Joyeux Noël". Le jeune homme sort avec l'impression d'avoir été renfloué, il espère que ce genre d'association existe, il devrait en parler à Hécate (Luna) qui semble bien s'y connaître en bestiole de compagnie. James continua ses recherches, mais fort constaté qu'il n'a rien de trouvé d'intéressant pour ses amours, peut-être des bougies parfumées et encore... Le Gryffondor s'apprêta à rentrer quand un couple sous le gui, après être s'embrassait goulûment, raconte une rumeur d'une espèce de gaillard en armure qui défie de son épée qui compte qui voudrait le battre contre quelques galions. James leva un sourcil, mais cette personne est un génie ! ! Il pourrait se faire un pactole s'il pouvait battre cet homme, et il est convaincu de le battre. Après tout, il est James Fleamont Potter, très bon duelliste en toute modestie incarnée, bien sûr ! Prongs va régler cette histoire, remporté le prix, et rentrer se boire un chocolat chaud dans les appartements de Regulus tout en se vantant d'être le plus fort du monde, toujours en modestie incarnée, cela va de soi.

Sentant l'âme d'un chevalier voir de Gryffondor en lui-même, il demanda au couple où il pourrait trouver ce fameux gars déluré, on lui informa qu'il traîne souvent à la Tête du Sanglier. Sans dire merci, il court à toute hâte avec son calendrier de l'avent sous le bras vers la taverne en question, et effectivement, il vient de sortir et il est reconnaissable entre mille. L'homme, on dirait qu'il sort tout droit d'une histoire épique de chevalerie, tant par sa carrure imposante, mais également par ses accoutrements et de sa prestance qu'il dégage ; il pue le héros à foison. Rien que ça, James en est terrifié comme superbement admiratif, il se sentait ridicule face à cet homme, mais il ne se décourage pas et pointa sa baguette en essayant de rester crédible.

- Vous, là ! Je vous défie en duel afin d'emporter toute la somme de vos galions et comme exige la tradition, je dois décliner mon identité de sorcier ; Je suis John Carter, élève de Poudlard, Dix-sept ans et poursuiveur dans l'équipe de Quidditch, Futur Auror et je vous provoque en duel ! Est-il convaincant ? Il aimerait le croire, il sait que c'est fichue d'avance parce qu'il ressent une immense magie émanait de lui, mais il n'a pas peur, sinon il ne serait pas à Gryffondor et c'est trop tard pour faire marche arrière.

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**• Date d'inscription** : 27/11/2023

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« Tu es fort petit, mais tant que je serais dans le milieu, tu ne seras que le second ! »
ft. James Potter

Je n'arrivais pas à m'adapter à cette époque. Tout me semblait étrange. Cela faisait plusieurs semaines maintenant que j'avais... transplané dans cette époque vraiment trop hors du temps, même pour moi. Je m'adaptais rapidement pourtant. Mais le décalage était vraiment trop grand. A mon époque, on se baladait encore en charrettes et à dos de cheval. Maintenant les moldus volaient grâce à des espèces d'oiseaux métalliques et voyageaient dans des carrosses en métal qu'ils appelaient voiture. Vraiment beaucoup trop étrange pour moi.
Heureusement, du côté sorcier, beaucoup de choses restaient les mêmes. Il y avait bien plus de sort aujourd'hui et c'était vraiment un régal de les découvrir. De mon époque les sorts étaient complexe, prenaient du temps et de l'énergie mais le résultat était bien plus impressionnant il faut le dire. Et maintenant que l'hiver était bien installé en cette nouvelle journée de décembre, je m'étais tourné vers le Chemin de Traverse à Londres et Pré au Lard pour apprendre tout ce que je voulais savoir. Bien sur, les défis étaient toujours la meilleure des manières d'obtenir quelque chose. Après tout, avec ma carrure, je ne passais évidemment pas inaperçu. En plus, avec ma cape rouge sombre nouvellement acheté, je faisais tourner quelques regards curieux sur moi.

Pré au Lard était surtout fréquenté en fin de semaines par les élèves de Poudlard et une véritable économie s'était tourné autour de ces visites. Il est vrai que le village existait déjà de mon temps bien sur, mais il n'était pas aussi prospère c'est un vrai regard protecteur et satisfait que j'observais l'effervescence des rues qui s'animaient.

Déjà quelques semaines et j'ai pu apprendre quelques traditions liées à Noël. Notamment qu'en début de mois on offrait ou on s'achetait un calendrier de l'avent pour attendre patiemment jusqu'au réveillon. Quelque chose qui venaient des moldus apparemment et vite transmis aux sorciers qui les déclinaient à foison en fonction de ce que les boutiques vendaient. Les vitrines étaient alors, à cette époque remplies de décorations diverses et des "Joyeux Noël" était accrochés en guise de voeux pour la fin d'année. Il était évident que les commerçants ne manquaient pas d'imagination concernant cette fête qui semblaient être une fête qui rassemblait les familles sous d'immenses sapins. Les enfants d'ailleurs semblaient attendre avec impatience la venue d'un barbu habillé tout de rouge qui passait par les cheminées pour distribuer des cadeaux qui s'appelait le Père Noel.

Je me baladais dans cette effervescence en ce matin frais. La neige était encore tombée cette nuit, recouvrant le sol d'un manteau blanc. Un sourire nostalgique passa sur mes lèvres. Rowena adorait contempler la neige. Je me demande d'ailleurs toujours pourquoi, moi, je suis apparu et pas mes trois amis les plus proches. Etait ce une épreuve de la part de Merlin ? Quoi qu'il en soit, je me dirigeais vers mon nouveau quartier général qui était à présent la Tête de Sanglier. Bien moins fréquenté que le Chaudron Baveur, et pourtant, beaucoup de curieux était venu dans l'espoir de me défier. Aucun n'avait réussi. Foi de Gryffondor, je ne me laisserai pas abattre ! Et déjà, j'entendais des murmures sur mon passage. Un sourire satisfait trônait sur mes lèvres alors que je marchais dans la ruelle, saluant quelques têtes que je reconnaissais.

Je passais devant la grande place de Pré au Lard où un immense sapin a été décorés de guirlandes et de boules de Noël. La composition se finissait sur une immense étoile, dressée tout en haut du végétal, dans un ensemble artistique qui semblait correspondre à ce que certains appelaient les « lumières de Noël ». Apparemment c'était une coutume liée encore à cette fête. Quelques passants s'étaient mis à chanter pour l'occasion, leurs partitions et leurs instruments flottant devant eux. Je ne résistais pas et me joignis à eux. Ma voix, forte t puissante mais complètement fausse fit rire plusieurs passants. Salazar aurait surement hausser les yeux au ciel face à mes pitreries mais j'étais comme ça.

« -We wish you a merry Christmas, we wish you a merry Christmas, we wish you a merry Christmas and a happy new yeeeaaaaaarrrrr !!! »

Je finis en tenant la note sous quelques applaudissement et d'autres sifflements moins flatteur. Il faut dire que je n'étais pas connu pour mes talents de chanteur. Heureusement, aucun ne retint cette interlude peu flatteuse. Et je continuais ma route jusqu'à la Tête de Sanglier et entra dans l'établissement. Petit, sale, miteux. Je saluais le patron d'un immense sourire.

« Bonjour mon bon ami ! Comme d'habitude s'il te plait ! »

Les bougies posées dans les réceptacles en verre diffusaient une lumière douce et tamisée. Je finis ma choppe bien fraiche et sorti bras dessus, bras dessous avec un homme dont je commençais à sentir une amitié naitre. Il était aussi hilare que moi quand j'entendis soudainement une voix forte et un gamin se poser devant moi à quelques mètres. Il tenait son calendrier de l'avent sous le bras, pointant sa baguette dans ma direction. Je haussais un sourcil face à sa mine déconfite en m'observant sans subtilité. J'écoutais son discours avec attention et un sourire se dressa sur mes lèvres. En vérité, j'étais assez fier qu'un élève de ma maison ait autant d'audace et de courage de se mesurer à un sorcier plus expérimenté et plus âgé. Se serait mentir si je disais que je n'étais pas aussi impressionné par son courage. Ou si je devais rire de son imprudence. Ses lunettes sur son nez, il semblait véritablement résolu à en découdre.

Soit.

Je m'avançais d'un pas vers lui dans le silence alors que quelques passants ayant entendu la provocation s'arrêtèrent pour nous observer. Puis à mon tour, je finis par me présenter.

« Bien. J'admire ton courage gamin. Je m'appelle Horvath Gwydion. Je suis un simple sorcier voyageur et j'accepte ton duel. »

Il était de coutume que l'on devait s'approcher pour s'éloigner de plusieurs pas, chacun de trois, offrant quelques pieds de distance. Je m'approchais donc du jeune homme, brandissant mon épée que je sortais de dessous la cape, le saluant convenablement. Puis je me retournais pour effectuer les quelques pas d'écart, aux aguets de la moindre traitrise. Après tout, mon meilleur ami était Salazar et il n'était pas réputé pour être droit quand il s'agissait des règles. Un passant avait prit la place d'arbitre provisoire. Pas d'attaque dans le dos. Je levais mon épée dans une garde parfaite dans l'espoir de l'impressionner et qu'il renonce facilement. Je ne voulais pas blesser ce garçon qui représentait très bien ma maison au vue de sa droiture. Un sourire en coin de lèvres, je me mis à charger alors qu'il amorça sa propre baguette.

Un expelliarmus résonna sur les murs des bâtiments alors que mon épée s'échappa des mains pour voler quelques mètres plus loin, manquant de couper quelques cheveux à des passants, se plantant dans la porte d'une boutique, le reflet du coucher de soleil se balançant sur la lame impeccable. Je ne laissais pas le choc de ce désarmement m'envahir et sortis ma baguette magique de l'autre côté de ma tunique.

J'étais doué en duel. J'étais doué en sort informulé. Combo redoutable. Et à cet instant, il me faisait penser à un petit lionceau qui rugissait sur son père. Aussitôt, je fis tourner ma baguette dans un geste précis et le sort frappa de plein fouet le pauvre jeune homme qui se transforma en un petit chaton couleur chocolat.

Satisfait, je rangeais ma baguette alors que les passants applaudissait face à ce duel. En réalité cela n'avait duré que quelques secondes. Le calendrier de l'avent que tenait le jeune homme était tombé par terre au même endroit que le chaton. Je m'approchais rapidement et attrapa l'un et l'autre. Je soulevais la boule de poil à hauteur de mon visage. Je ne pus refréner un rire de ma gorge. Il y avait ses lunettes noires dessinées sur son pelage.

« T'as du cran petit, je dois le reconnaître. »

Il se dirigea avec ses paquets dans une seule main et se dirigea vers son épée qu'il délogea de la porte. L'enfermant dans son fourreau à sa ceinture, il se dirigea vers la Tête de Sanglier.

« Re-bonsoir Tom. J'ai besoin de deux verres s'il te plait. Quelque chose de chaud pour le chaton présent ! »

Je me dirigeais vers une table vide et posa le calendrier sur le plan de travail. Je finis par poser le chaton sur la chaise et le retransforma en jeune homme. Je finis par m'asseoir sur la chaise vide en face en secouant ma tignasse blonde et enleva ma cape.

« Bon alors, c'était quoi le plan au juste hm ? T'as de la chance que je sois un gentil. C'est bien d'avoir du courage et de l'audace mais faut aussi se servir de ta tête. »

Tom le tavernier posa deux choppes de bierreaubeurre devant nous alors que j'observais ce John Carter qui me semblait vraiment intéressant. Puis, je finis par lui sourire.

« En tout cas, tu représentes bien ta maison. Godric serait fier de toi. »

Bon, j'avoue, j'étais assez fier d'avoir des élèves de sa trempe dans ma maison. A savoir si il agissait avec autant d'imprudence tout le temps ou si il s'agissait simplement d'un coup d'éclat de sa part.

code rainmaker

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Pré-au-lard, le 01/12/2021

James dans son arrogance, dans sa stupidité, il n’avait pas mesuré les conséquences de ses actes, pour ne pas changer. L’homme l’air surpris de se voir proposer un duel, mais il ne relève pas pour l’instant, ce qui le rend perplexe, c'est l’excentricité de son accoutrement, comme s’il sortait du Moyen Âge. Il est clairement dans le Moyen Âge par son fort accent d’ancien anglais, mais assez compréhensible pour se faire entendre, ainsi, son adversaire s’appelle Horvarth Gwydion, James a simplement compris ; Howard Guidon. L’adolescent frémit d’impatience, il avait tellement hâte qu’il avait déjà brandi sa baguette pour lancer un *experliarmus* à l’épée de son adversaire. James plissa un peu les yeux, il est certain de reconnaitre l’épée de Gryffondor à moins que ça soit une réplique. Il n’a pas eu le temps de faire la réflexion que son adversaire fit, d’un seul geste de sa baguette, à le métramorphosé en… Chaton ? PARDON ??????? Il n’avait rien compris à ce qu’il s’est passé, il se retrouve tout petit, à quatre pattes et il n'arrivait pas à parler. En plus, pour renforcer son humiliation, des passants applaudissent comme s’ils étaient des artistes de rue et il se fait soulever comme un petit putain de chaton qu’il est. « T'as du cran petit, je dois le reconnaître. » L’odeur d’haleine d’alcool lui piqua son petit museau, il se jure la prochaine fois qu’il va l’embrocher sous sa forme de cerf.

L’humiliation et l’agacement firent place à l’admiration. James n'avait jamais croisé ce genre d'homme dans sa vie. Que dit-il, mécréant ! Ce n'est pas un homme ! Ce n'est pas n'importe quel homme, James ! C'est un Dieu ! Et Horvath est un prénom qu'il ne sonne pas pour un commun des mortels, son prénom fait très "Dieu". Ce gars-là, c'est au-delà de tout, si John Lennon est un demi-dieu pour James, alors Horvath est comme un Dieu aux yeux de James. Il est totalement sous le charme de ce sorcier qui l'a humilié il y a deux secondes à peine. Il vient de le transformer en chat. Sans baguette. Sans baguette ! Comme ci c'était facile, aussi simple que "bonjour". Horvath est complètement cheaté, une master classe total, un crackito badass, pleins de mots d'argots qu'il a appris dans les réseaux sociaux tellement qu'il ne sait pas comment définir cette perfection. Ah si ! Si le mot Perfection à une image, ça serait LUI. Prongs veut devenir comme ce dieu, dans son cœur, il en a fait un égal, il est la perfection à atteindre, il a maintenant un nouveau but dans sa vie ; être aussi fort et puissant que ce goat. Il faut dire, il transpire le héros à plein nez, il a l’assurance qui lui manque. Dès que James retrouve une forme humaine, la machine à parole est activé pendant que le blond commande.

- Monsieur, je ne sais pas d'où vous venez, je ne sais pas qui vous êtes, mais par les couilles sacrées de Gryffondor et de Merlin, prenez-moi comme disciple, je vous en supplie !! Quand James est en proie de surexcitation, on a du mal à le calmer, surtout quand ses maraudeurs ne sont pas là pour freiner ses ardeurs. Je ferais n'importe quoi ! Dites-moi, et je le ferais pour que vous jugiez que je sois digne d'être votre élève, votre écuyer même ! Il se sentait déjà partir à l'aventure à ses côtes, sillonner les routes par tous les temps, chasser des bandits, plutôt des mangemorts, dormir à la belle étoile, chanter des chansons grivoises dans des tavernes douteux et raconter ses aventures par lettres à ses deux petits amis. Il y a des rumeurs sur vous qui disent que si on vous bat en duel ou même au bras de fer, on peut se faire un maxi pognon. En vrai, je ne voulais pas de l’argent, je voulais juste prouver ma valeur afin de devenir puissant. Devenir un héros. Un long sourire apparu sur ses lèvres quand il mentionne Godric. Vous connaissez Godric Gryffondor ? Je ne veux pas me vanter, mais je suis son fier descendant ! Oui, bien sûr, James dans ses rêves et il s'en vante totalement.

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